Monday, 8 October 2012

Evaluation


I found writing the blog for French Proficient 2 to be an interesting experience. I definitely felt that it challenged me to increase my French vocabulary and improve my French grammar.  It also gave me the opportunity to learn more about French culture.

On the other hand, instructions for each blog post were often vague and it was not clear what the ‘genre conventions’ were. Furthermore, instructions were not clear on how we should reference our work. As I had never written a blog before, and am not a very techno-savvy person, I also found making the blog rather difficult at times. 

I found that I got stressed with meeting the deadlines for the blog posts and would have preferred it if they were more spread out over the semester. I also felt that for the amount of work and effort that we put into our blog, it was not reflected in its worth towards our overall mark for the unit.

Overall, I liked that the blog was different to any other assessment I have undertaken at university, and that it gave us the opportunity to be creative. I think that the blog challenged me with writing in French, and it was very beneficial in this aspect, although I’m not entirely sure I’d like to do it again. 

Monday, 1 October 2012

Une journée en faisant les macarons



Les macarons d'un magasin à Paris
http://www.cobblestay.com/blog/wp-content/uploads/2011/08/laduree-macarons-paris-pic1.jpg
Il y a trois ans que j’étais en France pour le Noël.  Pour célébrer, mon amie Tifenn et moi avons décidé de faire un de nos desserts préférés ; les macarons. On n’avait jamais essayé de les faire, mais bien sur on a mangé beaucoup de ces petits biscuits gourmands que l’on achète souvent chez le pâtissier ou chez le chocolatier. On a toujours adoré les couleurs diffèrent des macarons et comment ils sont très jolie à voir même délicieuse. Donc on était vraiment impatient de les faire !

On a regardé une vidéo sur YouTube, comme cela, avant de préparer nos macarons : http://www.youtube.com/watch?v=mQ6IaFpduIA&feature=related.  
Cela nous a aidé beaucoup comme on ne savait pas comment faire les macarons.

Premièrement on avait une décision très dure à faire. . Quels macarons ferons-nous ? Pour ceux qui ne connaissent pas les macarons, il y a une variété énorme avec des nouveaux goûts inventé tout le temps. Après plusieurs heures en cherchant pour les recettes dans un livre de Tifenn, on a décidé de faire quatre type de macarons : la framboise, le chocolat, le kiwi et la caramel. On a cherché aussi pour les recettes de macarons sur notre site-web favorite Pure gourmandise. En fait, on utilisé leur recette pour les macarons au chocolat. Voilà la ligne : http://www.puregourmandise.com/recettes/014.htm


Nos macarons; la framboise, le chocolat, le kiwi et la caramel
À première vue, les macarons semblent très faciles à faire, mais en fait il est vraiment difficile d'obtenir des biscuits parfaitement lisse sur le dessus, moelleux au milieu et tous la même taille. D’habitude il n’y que quelques ingrédients basic ; les blancs d’œufs, la sucre, le poudre d’amandes, et des colorants alimentaires. Dépendant de type de macaron que l’on faire, il y a plus d’ingrédients bien sur. Comme on a fait quatre goûts différents, il nous fallait beaucoup d’ingrédients !

La méthode pour faire les macarons est relativement simple, mais il faut du temps.  Je ne savais pas que quelque chose si petite peut prendre tant de temps pour faire ! Il nous a fallu un après-midi entière, mais cela valait la peine.


Glaçant les macarons
Tout d’abord, on a dû monter les blancs d’œufs en neige ferme. Puis on a ajouté les colorants alimentaires, et ensuite on a ajouté, peu à peu, le sucre et le poudre d’amandes.  Ensuite, on a préparé une feuille de papier sulfurisé sur une plaque à pâtisserie et dressé des petits dômes à la poche avec une douille lisse sur le papier. Puis il les a fallu laisser croûter une vingtaine de minutes. Après cela, on les a enfourné pour 15 minutes. Pendant ce temps on a fait quatre glaçages différents. Lorsque les coques de macarons étaient froids, on les a collé deux à deux avec un glaçage diffèrent.
En fin, nos macarons ne semblaient pas exactement comme les macarons dans la photo sur la recette, mais ils étaient vraiment délicieux, et en plus, ils étaient très jolis. Ils ont emmené une petite touche de couleur à la table de noël.  Comme le dessert est important partie de la culture française, nos macarons ont été bien reçus par toute la famille.


Les références

-  http://www.cobblestay.com/blog/wp-content/uploads/2011/08/laduree-macarons-paris-pic1.jpg

Monday, 10 September 2012

La cruauté culinaire


J'adore la gastronomie française, mais il y a une spécialité culinaire qui me gène un peu. Cela est le foie gras, le pâté d'oie ou de canard qui est préparée dans une manière je trouve vachement cruelle.  Dans ce blog je parlerai de cette spécialité culinaire et la controverse en ce qui concerne la cruauté contre la culture. 

Le fois gras
Dans les fermes de foie gras en France, les oies et les canards sont confinés dans des cages minuscules où ils ne peuvent pas échapper la machine de chargement mécanisé qui les gave. Un par un, les oiseaux sont capturés et un tuyau métallique est plongé dans leurs gorges. Chaque jour les pompes de la machine pompe une quantité énorme d'un mélange de maïs et d'huile directement dans leur gosier dans quelques secondes, ce qui équivaut à un tiers du poids de l'oiseau.  Dans l’espace de quelques semaines, le foie des oiseaux pousse à dix fois sa taille normale.
  
Evidement, ces oiseaux soufrent énormément comme leur condition physique se détériore. Comme le foie presse sur les autres organes, les oiseux ont les difficultés en marchant et en respirant. Eventuellement à cause de leurs jambes estropiées, ils n’arrivent pas à marcher et par conséquence doivent s’asseoir en permanence. Dans cet état compromis, les oiseaux déprimés ne peuvent plus s'engager dans des comportements normaux de lissage de plumes, une situation qui est aggravée par le fait qu'ils n'ont pas accès suffisamment à d'eau pour s'engager dans des comportements normaux et instinctives des oiseaux.  À cause de ces conditions épouvantables, les oiseaux souffrent physiquement et psychologiquement avant qu’ils soient abattus et 
leur foie devienne une spécialité culinaire, le foie gras.

Le gavage

En France, traditionnellement le foie gras est consumé pendent les occasions spéciales comme les dîners du noël et la réveillon. On peut dire alors que le foie gras est une partie de la culture française. Il y a quelques années j'ai demandé à une française si elle savait comment le foie gras est produire. Elle savait bien sûr, mais elle a dit que le foie gras est «trop bon» de ne pas manger.  J’étais vraiment choqué car je savais aussi comment le foie gras est fait mais je ne le trouverais jamais délicieuse après avoir découvert ce qui arrive aux pauvres oies et canards. Plus tard, après réfléchi, j'ai pensé à la culture et comment elle affect les décisions, les vues, et le comportement.  Si on est élevé en mangeant du foie gras, et c'est une tradition chez les réunions de famille pour exemple, comment pourrait-on arrêter de le manger ? Cela serait très difficile même un peu bizarre ; c’est comme arrêter les australiens de manger le vegemite !

Une vie de misère
Peut-être ce n’est pas juste de demander que les français doivent arrêter de produire et de manger le fois gras, mais à mon avis la cruauté pesse plus que la gastronomie. En plus, je ne crois pas que l’on peut justifier la cruauté de cette spécialité culinaire. Pour moi, les animaux sont des créatures sensibles et conscientes comme les humains et donc il est nécessaire que l’on les traite avec le respect.


Les références




- http://www.stopforcefeeding.com